Élisabeth félicite Marie d’être la mère du Messie. En réponse, Marie chante son Magnificat : « Mon âme glorifie le Seigneur. » Marie était aimable aux yeux de Dieu par son humilité. Tous, sans doute, nous voudrions devenir plus humbles. Et la sainte Vierge nous montre pourquoi c’est indispensable.
Un prêtre du Seigneur était sans descendance. Dieu agit miraculeusement pour lui donner un fils qui allait recevoir une mission extraordinairement importante aux yeux de Dieu. Ce prêtre, c’était Zacharie, sa femme se nommait Élisabeth, et leur fils à la mission si importante, c’était Jean-Baptiste.
Au terme de ces quarante instructions sur le combat spirituel, une question poignante se pose : quelle est l’issue de ce combat ? Est-ce que nous allons être vainqueurs ou vaincus ? Tout dépend de notre union au Christ !
Entre le dimanche des Rameaux et le Vendredi Saint, on est passé des acclamations enthousiastes aux insultes, aux crachats, aux coups, aux clous. Là où nous voyons, nous, une humiliation, saint Jean parle, lui, d’une glorification. C'est ce que nous montre aujourd'hui le Père Augustin-Marie.
Aujourd’hui, pour le Jeudi Saint, le Père Ceslas-Marie nous parle de notre plus grand trésor : l’eucharistie ! En ce jour où Notre-Seigneur a institué le sacerdoce de la Nouvelle Alliance, priez pour tous les prêtres !
Le récit de la Passion, dans les évangiles, montre la faiblesse des disciples de Jésus. Il en est de même pour nous. Dans le sacrement de confirmation, le Saint-Esprit nous donne cette force qui nous manque souvent. C’est de cela que va nous parler aujourd’hui le Père Antoine-Marie.
La potion magique de la série de bandes dessinées Astérix peut nous aider à comprendre ce que nous vivons au niveau surnaturel par le baptême. Le Père Ambroise-Marie nous montre que le baptême nous procure une force surhumaine, la grâce, pour être sauvés et mener le combat spirituel.
À la messe, lors de la communion, le prêtre montre l’hostie en s’adressant aux fidèles : « Voici l’agneau de Dieu, celui qui enlève les péchés du monde. » Durant sa Passion, comme un agneau, le Christ a été mené à l’abattoir, il n’a pas ouvert la bouche et il s’est livré aux mains de ses bourreaux.
Le Père Caffarel raconte son entretien avec un vieux paysan. « Quand j’étais jeune, je servais souvent la messe du vieux curé de notre village. […] Il passait des heures entières à l’église, en prière. Un jour, je lui dis : “Moi aussi je voudrais savoir prier, Monsieur le Curé.” »