À la messe, lors de la communion, le prêtre montre l’hostie en s’adressant aux fidèles : « Voici l’agneau de Dieu, celui qui enlève les péchés du monde. » Durant sa Passion, comme un agneau, le Christ a été mené à l’abattoir, il n’a pas ouvert la bouche et il s’est livré aux mains de ses bourreaux.
Le Père Caffarel raconte son entretien avec un vieux paysan. « Quand j’étais jeune, je servais souvent la messe du vieux curé de notre village. […] Il passait des heures entières à l’église, en prière. Un jour, je lui dis : “Moi aussi je voudrais savoir prier, Monsieur le Curé.” »
Le Rosaire est « un enchaînement d’amour de Marie à la Trinité ». En le priant, nous contemplons l’histoire du salut… L’arc-en-ciel des mystères épelle pour nous l’aventure divine. Marie nous proportionne la lumière de Dieu. Le Père Louis-Marie nous incite à suivre le chemin vers la Trinité.
Dans l’Évangile, notre Seigneur Jésus-Christ ne cesse de nous recommander la prière : « Demandez et l’on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; et à qui frappe on ouvrira. » Que demander à Dieu ?
Le « Notre Père » est la prière que le Christ a enseignée à ses disciples, lorsqu’ils lui demandaient de leur apprendre à prier. Elle est « la plus parfaite des prières ». Le Notre Père contient l’essence de la prière. Il nous met en « état » de prière, nous rappelle ici le Père Louis-Marie.
Si vous voulez connaître le secret profond de la vie de quelqu’un et comprendre ce qu’il est véritablement, il faut jeter un regard sur le mystère et l’intimité de sa prière. Le Père Raymond-Marie nous montre que cela vaut aussi pour la personne du Christ. Aucun homme n’a jamais prié comme Jésus.
« Notre vie sur la terre n’est rien d’autre qu’une tentation sans interruption », dit saint Augustin. Le Seigneur n’accorde son secours qu’à celui qui prie. Il nous faut persévérer dans la prière. Comme le dit le Père Réginald-Marie, ce n’est pas le temps qui nous manque, mais la foi.
Vous êtes sûrement nombreux, chers amis, à avoir lu Le Seigneur des Anneaux, de Tolkien, et plus encore à avoir vu le film de Peter Jackson. Tolkien, qui était un fervent catholique, avait bien compris que l’espérance est d’une importance capitale dans la vie chrétienne.
Sommes-nous des menteurs ? « Si quelqu’un dit : j’aime Dieu, et qu’il déteste son frère, c’est un menteur » (1 Jn 4, 20). C’est le même amour qui nous pousse à aimer Dieu et le prochain. Mais que signifie aimer son prochain ? Le Père Joseph-Marie vous l’expliquera dans la vidéo de ce jour.